Arrembécourt est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.
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Arrembécourt | |
L'église Saint-Étienne. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Aube |
Arrondissement | Bar-sur-Aube |
Intercommunalité | Communauté de communes des Lacs de Champagne |
Maire Mandat |
Bernadette Herbin 2020-2026 |
Code postal | 10330 |
Code commune | 10010 |
Démographie | |
Gentilé | Arrembécourtois, Arrembécourtoises |
Population municipale |
47 hab. (2019 ![]() |
Densité | 6,6 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 32′ 36″ nord, 4° 35′ 53″ est |
Superficie | 7,12 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Brienne-le-Château |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Margerie-Hancourt Marne |
||
![]() |
Outines Marne | |
Chavanges | Joncreuil |
L'adjonction d'un deuxième r est de la fin du XIXe siècle, il apparait en 1884 sur le dictionnaire des Postes, les autres formes connues sont : Rambécourt, Rambescourt.
Il existait au territoire, sur le cadastre de 1841 : Alonts, Beaujeu, Bessin, les Chenets, Citadelle, Côte-à-la-Vigne, la Cour, le bois de la Dame, les grandes et petites Forêts, Grosse Maisons, Haricourt, le Moulin à vent et le vieux, les Noues, Ormont, le Poele, Rouge-Grange.
Arrembécourt est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68 %), prairies (18,9 %), forêts (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Si un Arembert est cité dès 854, la première mention en tant que nom de lieu est du XIe siècle. C'était un ensemble de seigneuries dépendantes de Rosnay et de Montmorency.
En 1789, la commune dépendait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection de Vitry et du bailliage de Chaumont.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2001 | mai 2008 | Jacques Parfait | ||
mai 2008 | En cours | Bernadette Herbin Réélue pour le mandat 2020-2026[8] |
DVD | Agricultrice |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[10].
En 2019, la commune comptait 47 habitants[Note 2], en diminution de 9,62 % par rapport à 2013 (Aube : +1,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
218 | 260 | 260 | 230 | 157 | 178 | 158 | 167 | 162 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
160 | 159 | 148 | 148 | 162 | 154 | 146 | 136 | 129 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
133 | 127 | 110 | 90 | 80 | 104 | 103 | 85 | 90 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
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82 | 62 | 60 | 60 | 49 | 41 | 41 | 43 | 46 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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52 | 47 | - | - | - | - | - | - | - |
L'église dédiée à saint Étienne était une succursale de celle de Chassericourt qui appartint un temps à l'abbaye de Montier-en-Der, après avoir appartenu à celle de la Chapelle-aux-Planches. Elle était au doyenné de Margerie et à la collation de l'évêque. Elle a été reconstruite au XVIe siècle, voûtée et ayant une abside à trois pans. Les bas-côtés ont disparu[13]. Comme mobilier, elle possède des fonts baptismaux du [14] XVIe siècle en calcaire rose polychrome, une dalle funéraire [15] de Henry Cabrillon mort en 1667. Des fragments de verrières du XVIe siècle avec blasons et Ecce homo[16]
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