Ardengost est une commune française située dans le sud-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau).
Ardengost
Vue du village.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Hautes-Pyrénées
Arrondissement
Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité
Communauté de communes Aure Louron
Maire Mandat
Sébastien Sajous 2020-2026
Code postal
65240
Code commune
65023
Démographie
Gentilé
Ardengostois
Population municipale
13 hab. (2019 )
Densité
2,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées
42° 55′ 33″ nord, 0° 24′ 18″ est
Altitude
Min. 715 m Max. 1 927 m
Superficie
5,82 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Neste, Aure et Louron
Législatives
Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Ardengost
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Ardengost
Géolocalisation sur la carte: Hautes-Pyrénées
Ardengost
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Ardengost
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau d'Ardengost et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Ardengost est une commune rurale qui compte 13 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 204 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Ardengostois ou Ardengostoises.
Géographie
Vue du bourg.
Localisation
Carte interactive d’Ardengost
Limite communale
Mairie
La commune d'Ardengost se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 43 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 26 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 21 km de Capvern[3], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4]:
Fréchet-Aure (2,8 km), Camous (3,2 km), Jézeau (3,3 km), Pailhac (3,5 km), Bareilles (3,5 km), Ris (4,2 km), Arreau (4,3 km), Beyrède-Jumet (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Ardengost fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau)[5].
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau d'Ardengost, Agalé de Pradet, Coume d'Hontadet, le Couret d'O, le ruisseau Agalé de la Lit et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat de montagne», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]
Moyenne annuelle de température: 9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 8,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Arreau Borderes», sur la commune d'Arreau, mise en service en 1943[14] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,6°C et la hauteur de précipitations de 894,8 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Tarbes-Lourdes-Pyrénées», sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 45 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[18], à 12,6°C pour 1981-2010[19], puis à 12,9°C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Article connexe: Liste des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique des Hautes-Pyrénées.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[21],
le «massif de la Barousse» (6 802ha), couvrant 12 communes dont deux dans la Haute-Garonne et dix dans les Hautes-Pyrénées[22];
les «relief karstique, milieux montagnards et forestiers de Camous au Mont Mérag» (1 648ha), couvrant 5 communes du département[23],
les «vallons forestiers et milieux subalpins en rive droite du bas Louron» (6 635ha), couvrant 17 communes dont deux dans la Haute-Garonne et 15 dans les Hautes-Pyrénées[24];
le «massif de la Barousse et chaînon du sommet d´Antenac au cap de Pouy de Hourmigué» (15 691ha), couvrant 33 communes dont 18 dans la Haute-Garonne et 15 dans les Hautes-Pyrénées[25];
le «piémont calcaire, forestier et montagnard du Nistos en rive droite de la Neste» (15 195ha), couvrant 26 communes dont une dans la Haute-Garonne et 25 dans les Hautes-Pyrénées[26];
la «vallée du Louron» (16 472ha), couvrant 30 communes dont six dans la Haute-Garonne et 24 dans les Hautes-Pyrénées[27].
Urbanisme
L'escalier.
Typologie
Ardengost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[I 2],[29].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (59,6%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,4%)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 29[I 5].
Parmi ces logements, 20.7% sont des résidences principales, 72.4% des résidences secondaires et 6.9% des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par la route départementale D19.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ardengost est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[33]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[34],[31].
Ardengost est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[35]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ardengost.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[36]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 1,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 24 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en en aléa moyen ou fort, soit 0%, à comparer aux 75% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[31].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[39],[40].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Ardengost est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[41].
Toponymie
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Ardengost au nord est d'Arreau
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[42] qui rapporte les dénominations historiques du village.
Dénominations historiques:
De Ardengosto, latin (1387, pouillé du Comminges);
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].
En 2019, la commune comptait 13 habitants[Note 8], en augmentation de 18,18% par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées: +0,31%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
114
96
140
76
172
199
192
204
202
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
168
163
161
156
167
156
158
134
125
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
125
118
112
86
73
65
63
43
33
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
30
23
19
19
11
16
16
16
12
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
13
13
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique
Une croix.
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[50].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 8 personnes, parmi lesquelles on compte 75% d'actifs (75% ayant un emploi et 0% de chômeurs) et 25% d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 1 emplois en 2018, contre 1 en 2013 et 0 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 6, soit un indicateur de concentration d'emploi de 16,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,2%[I 10].
Sur ces 6 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 travaillent dans la commune, soit 17% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 66,7% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 33,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Pierre-aux-Liens en 2015.Le monument aux morts municipal.
L'église Saint-Pierre-aux-Liens d'Ardengost.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Article connexe: Armorial des communes des Hautes-Pyrénées.
Voir aussi
Bibliographie
Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées - Michel Grosclaude, Jean-François Le Nail intégrant les travaux de Jacques Boisgontier - Conseil Général des Hautes-Pyrénées - Mission culture occitane - 4etrimestre 2000
Les sobriquets des villages aurois - Frantz-E. Petiteau - Editions Lacour - Cercle François Marsan - 3etrimestre 2003
Les vieilles inscriptions de la vallée d'Aure - Abbé François Marsan - Editions Lacour
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348p. (ISBN2-9514810-1-2, BNF37213307)..
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