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Arbérats-Sillègue
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Arbérats-Sillègue
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Géographie
Localisation
La commune d'Arbérats-Sillègue se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 83 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 79 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 5 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[1]
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5]:
Béhasque-Lapiste (2,3 km), Aïcirits-Camou-Suhast (2,3 km), Domezain-Berraute (3,0 km), Arbouet-Sussaute (3,2 km), Saint-Palais (3,4 km), Amendeuix-Oneix (4,1 km), Gabat (4,5 km), Garris (5,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Arbérats-Sillègue fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.
Réseaux hydrographique et routier d'Arbérats-Sillègue.
La commune est drainée par Eiheraxaharreko erreka, Errekaldeko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[11],[Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]
Moyenne annuelle de température: 13,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Aicirits», sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[17] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[18],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1°C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[19].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Biarritz-Pays basque», sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 45 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 14,1°C pour la période 1971-2000[21], à 14,3°C pour 1981-2010[22], puis à 14,6°C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: «la Bidouze (cours d'eau)»[25], d'une superficie de 2 570ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[26],[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Arbérats-Sillègue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[27],[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (69,3%), terres arables (22,7%), zones urbanisées (5,9%), forêts (1,5%), prairies (0,5%)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
Arbérats-Sillègue est desservie par les routes départementales D 933 et D 134.
Le territoire de la commune d'Arbérats-Sillègue est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].
Arbérats-Sillègue est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[36]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[37],[38].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arbérats-Sillègue.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[40].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[34].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Arbérats apparaît sous les formes
Arberas (1125[41]),
Arberatz (1150[41]),
Sanctus Laurentius de Arberaz (1160[41]),
Arberas (XIIIesiècle[33], collection Duchesne volume CXIV[42]),
Arberaz (1350[41]),
Arberatz (1413[41] et 1487[33], contrats d'Ohix[43] pour cette dernière mention),
Arberaz (1513[33], titres de Pampelune[44])
Arberatz (1975[33], ouvrage de Philippe Veyrin[45]),
Arbezats (1793[46], ou an II) et
Arberats (1801[46], Bulletin des lois).
Jean-Baptiste Orpustan[41] mentionne deux origines possibles au toponyme Arbérats, provenant toutes deux du basque, soit ar(r)-bera (ou beratz) signifiant ’fragile’ ou ’friable', ou le mot composé arbel, désignant une ’pierre noire’ ('ardoise’). Brigitte Jobbé-Duval[47] interprète également Arbérats par lieu rocheux d’ardoises.
Le toponyme Sillègue apparaît sous les formes
Sanctus Petrus de Silegue (1160[41]),
Sileugue (1316[41]),
Silegoe (1350[41]),
Silleugue (1413[41]),
Silegoe (1472[33], notaires de Labastide-Villefranche[48]),
Silengoa (1513[33], titres de Pampelune[44]),
Sillègue-les-Domezain (1734[33], règlement de la cour de Licharre) et
Sillegue (1793[49] et 1801[49], Bulletin des lois).
Pour Jean-Batiste Orpustan[41], le toponyme Sillègue est un composé du mot basque zil(h)o, qui signifie ’trou’, ’dépression du terrain’ et d’un deuxième élément, leku, ’lieu’.
Autres toponymes
Aitciria est une ferme de la commune mentionnée sous les graphies Ayciri de Arberatz en 1487 (contrats d'Ohix[43]) et Aïtciry (1863[33], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
Beheitia, hameau de la commune, apparaît sous la forme Béhéity dans le dictionnaire de 1863[33].
Le même dictionnaire mentionne un fief du nom de Charritte, vassal du royaume de Navarre[33].
Iratzia, sous la forme Iratce (1863[33], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque), était un fief présent à Sillègues, vassal du royaume de Navarre.
Au XIXesiècle, Paul Raymond indique pour Sillègue la forme Silhecoa[33].
Histoire
La commune actuelle a été créée le [51] par la réunion des communes d' Arbérats et de Sillègue.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1995
2001
Jacques Sallenave
2001
En cours
Sauveur Bacho
DVG
Retraité
Les données manquantes sont à compléter.
Intercommunalité
La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze et du syndicat Elgarrekin Ikas[52].
En 1350, 13 feux sont signalés à Arbérats et 6 à Sillègue[53].
Le recensement[54] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[55] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[56], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Arbérats la présence de 7 feux, le second de 26 (24 + 2 feux secondaires). De même pour Sillègue, le recensement de 1412 relève 5 feux et celui de 1551 22 (20 + 2 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[57] dénombre 40 feux à Arbérats et 20 à Sillègues.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[59].
En 2019, la commune comptait 297 habitants[Note 11], en augmentation de 2,77% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
193
213
204
210
212
246
351
314
320
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
308
271
251
262
251
268
248
233
231
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
242
259
242
228
226
230
233
235
196
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
184
175
177
198
222
270
302
316
299
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
273
297
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique
De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arbérats, encore séparé de Sillègue, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[49].
Évolution de la population
1793
1800
1806
1821
1831
1836
100
115
111
102
109
125
(Sources: Cassini)
Enseignement
La commune dispose d'une école élémentaire publique[61].
Manifestations culturelles et festivités
Située au centre du bourg, la commune s'est équipé d'une salle des fêtes. À l'origine du bâtiment, une ancienne école totalement rénovée.
Sports et loisirs
Seulement doté d'un mur à gauche, Arbérats-Sillègue a inauguré en 2007 un nouveau fronton ainsi que des sanitaires et un terrain de pétanque. Un terrain de football a également vu le jour sur ce même complexe.
Puits datant de l'époque romaine reconverti en base de loisirs.
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Langues
D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Arbérats-Sillègue est le bas-navarrais oriental.
Lieux et monuments
L'église Saint-Laurent[62], à Arbérats, date de 1615. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2006. L'église est dédiée à saint Laurent de Rome.
Chapelle Saint-Pierre de Sillègue. La chapelle est dédiée à l'apôtre saint Pierre.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Blasonnement:
De gueules à dix coquilles d'argent rangées en pal 3, 4 et 3[63].
Pour approfondir
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français: le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque: noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll.«Centre d'études linguistiques et littéraires basques», , 246p. (ISBN978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF40190262).
Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
Philippe Veyrin, Les Basques: de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, 366p. (ISBN978-2-7003-0038-3, BNF34554156), page 16
Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN978-2-35077-151-9).
Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Sillègue», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze - Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN2 909262 05 7), page 77
Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III: Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t.3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p.26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III: Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t.3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p.299.
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