Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Altier, le ruisseau de la Pigeire, le ruisseau de Lieyros, le ruisseau de Pomaret, le ruisseau de Rouvière et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (le «mont Lozère» et «les Cévennes») et sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Altier est une commune rurale qui compte 213 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 490 habitants en 1881. Ses habitants sont appelés les Altiérois ou Altiéroises.
Géographie
Localisation
Représentations cartographiques de la commune
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Avec les communes environnantes
1: carte dynamique; 2: carte OpenStreetMap; 3: carte topographique; 4: avec les communes environnantes
Altier est située à 42 km au nord-ouest d'Alès, la plus grande ville aux alentours.
Située à 720 mètres d'altitude, la rivière l'Altier est le principal cours d'eau qui traverse le village d'Altier.
Climat
La commune bénéficie d’un «climat semi-continental», ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010, comme 57 autres communes de la Lozère soit 31 % du département[Note 1]. Ce type de climat constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 10,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 6,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 5,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[4]. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1998 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[5]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records ALTIER (48) - alt: 900 m 44° 29′ 36″ N, 3° 51′ 06″ E Statistiques établies sur la période 1998-2010 - Records établis sur la période du 01-09-1998 au 04-01-2022
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
−0,4
−0,3
2
4,6
8,4
11,8
13,4
13,5
10,2
7,5
2,7
0,1
6,2
Température moyenne (°C)
2,6
3
5,8
8,7
12,9
16,9
19
18,8
14,7
11
5,7
3,2
10,2
Température maximale moyenne (°C)
5,6
6,2
9,7
12,8
17,4
22
24,6
24,2
19,2
14,4
8,7
6,2
14,3
Record de froid (°C) date du record
−9,9 11.01.10
−14,2 04.02.12
−12,3 01.03.05
−4,9 07.04.08
−0,2 05.05.19
3,7 04.06.01
5,2 12.07.00
7,2 22.08.07
3,1 27.09.20
−3,8 25.10.03
−8,9 22.11.1998
−12,8 14.12.01
−14,2 2012
Record de chaleur (°C) date du record
21,5 01.01.22
22 23.02.20
21,3 17.03.14
25,5 09.04.11
29,1 29.05.01
36 28.06.19
33,8 21.07.15
36,5 12.08.03
30,2 17.09.19
26,7 03.10.11
22,8 11.11.15
21,6 31.12.21
36,5 2003
Précipitations (mm)
85,3
74,8
60,9
124,5
127
53,9
40
55,2
116,1
175,9
151,7
123,6
1 188,9
Source: «Fiche 48004001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[6],[7].
Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques: le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[8].
Les Cévennes sont également un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[9],[10].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[12]:
le «mont Lozère», d'une superficie de 11 687ha, la plus grande zone continue de pelouses pseudo-alpines du sud du Massif Central[13]
«les Cévennes», d'une superficie de 92 044ha, correspondant précisément à la zone centrale du parc national des Cévennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversité des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiée: au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites à l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[14].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Cinq ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[15]:
les «combes des sources du Tarn» (770ha), couvrant 2 communes du département[16];
les «gorges du Chazesac, de la Borne et de l'Altier» (5 809ha), couvrant 7 communes dont deux dans le Gard et cinq dans la Lozère[21];
le «massif du Mont Lozère» (40 064ha), couvrant 22 communes dont trois dans le Gard et 19 dans la Lozère[22].
Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Altier.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Altier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[23],[I 1],[24].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (53,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (42,3%), prairies (3,4%), zones agricoles hétérogènes (0,6%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
Altier, le Grand-Altier, Combret, la Maison Blanche, la Rouvière, le Fossat, Conzes, les Rochettes-Basses, les Rochettes-Hautes, le Cros, le Bergognon, Villespasses, Valfournes, l'Habitarelle, Rabeyrals, le Champ, la Prade, la Pigeyre et Chareylasses…
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Altier est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Altier. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994 et 2020[28],[26].
Altier est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[29]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8],[29],[30].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Altier.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[31].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 267 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Altier est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].
Toponymie
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Histoire
Au début du Bas Moyen Âge, la seigneurie d'Altier, selon le vicomte de Lescure dans son armorial du Gévaudan, relevait de la baronnie des Châteauneuf de Randon, dont la Maison d'Altier semble être une branche cadette. Les d'Altier étant connus pour être parmi les premiers seigneurs pariers de La Garde-Guérin, d'eux sortit Azalais d'Altier, ils fondèrent également le château du Champ.
En 1375 ils s'éteignirent dans la non moins ancienne famille de Borne issue du Vivarais où elle est connue depuis 1030, ainsi les Borne d'Altier conserve le fief devenue comté jusqu'à la Révolution des suites de laquelle elle s'éteignit en 1828 dans la famille de Chapelain de Gras.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Altier est membre de la communauté de communes Mont Lozère[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Mont Lozère et Goulet. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[35].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Étienne-du-Valdonnez pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[36].
Liste des maires
Liste des maires d'Altier
Période
Identité
Étiquette
Qualité
2014
En cours
Jean Louis Balme
DVD
2008
2014
Jean Paulet
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 213 habitants[Note 9], en augmentation de 2,4% par rapport à 2013 (Lozère: 0%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 013
1 161
1 198
1 306
1 292
1 209
1 306
1 300
1 375
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 336
1 289
1 290
1 249
1 239
1 490
1 159
1 133
1 077
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 068
1 036
933
842
822
709
633
579
575
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
461
360
276
246
243
207
208
212
207
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
208
213
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,7%, soit en dessous de la moyenne départementale (29,7%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,1% la même année, alors qu'il est de 32,5% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 98 hommes pour 109 femmes, soit un taux de 52,66% de femmes, largement supérieur au taux départemental (50,04%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 5]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,9
90 ou +
2,6
8,7
75-89 ans
8,7
30,8
60-74 ans
31,3
24,0
45-59 ans
26,1
15,4
30-44 ans
13,0
9,6
15-29 ans
7,0
9,6
0-14 ans
11,3
Pyramide des âges du département de la Lozère en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1
90 ou +
2,6
9
75-89 ans
11,8
20,4
60-74 ans
20
22
45-59 ans
20,6
16,6
30-44 ans
16,4
15,1
15-29 ans
13,6
15,9
0-14 ans
15
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 102 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 211 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 16 490 €[I 6] (20 420 € dans le département[I 7]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 112 personnes, parmi lesquelles on compte 79,7% d'actifs (73,7% ayant un emploi et 5,9% de chômeurs) et 20,3% d'inactifs[Note 11],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 11]. Elle compte 46 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 85, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,5%[I 12].
Sur ces 85 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 41 travaillent dans la commune, soit 48% des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 81,1% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1% les transports en commun, 6,7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Culture locale et patrimoine
Le château du Champ.
Lieux et monuments
Château fort du Grand-Altier (ruines).
Château du Champ (non visitable, hors exception).
Église Saint-Privat d'Altier. Église de style roman du bourg d'Altier. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[42].
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de l'Habitarelle.
Personnalités liées à la commune
Jules Joseph de Chapelain, sous-préfet de Marvejols sous la Restauration.
Charles de Borne d'Altier comte d'Altier, marquis du Champ, baron de Budos et marquis de Portes colonel propriétaire du régiment de Conty-Dragon chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis mort guillotiné place de la Concorde, à Paris en 1794 avec son plus jeune fils, sur la dénonciation de leur cousin le prince de Conti.
Jules Joseph Antoine de Chapelain sous-préfet de Marvejols, chevalier de la Légion d'honneur.
Octave Scipion baron de Chapelain de Gras Saint-Sauveur, marquis du Champ préfet de Mende sous La Restauration.
Joseph de Chapelain baron de Gras Saint-Sauveur (1829-1899), longtemps maire d'Altier, conseiller général de la Lozère, partisan du comte de Chambord.
Le comte Gaspard de Gourcy Récicourt (1843-1924) officier des zouaves pontificaux, licencié en droit propriétaire du château du Champ enterré à Altier.
Le comte Charles de Gourcy Récicourt de Chapelain.. (1883-1954) officier d'infanterie chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918, docteur en Droit.
Héraldique
Le blasonnement d'Altier est: de gueules à la fasce losangée d'argent et d'azur
Voir aussi
Bibliographie
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Nombre de communes pour un climat donné et pourcentage par département sont définis sur la base du découpage territorial de 2009, qui a servi de canevas pour l’élaboration de la typologie climatique de 2010.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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