Ouled Sellam, Aït Sellam (en chaoui : ⴰⵢⵝ ⵙⵍⴰⵎ Ayth Sellam) est une commune située au nord-ouest la wilaya de Batna en Algérie. Il s’agit également d’une des grandes tribus chaouies des Aurès inférieures, elle a comme ancêtres Sellam, un Romain chrétien.
Cet article est une ébauche concernant une localité algérienne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Ouled Sellam | |
Noms | |
---|---|
Nom arabe algérien | أولاد سلام |
Nom chaoui | ⴰⵢⵝ ⵙⵍⴰⵎ |
Administration | |
Pays | ![]() |
Région | Aurès |
Wilaya | Batna |
Daïra | Ras El Aioun |
Code postal | 05044 |
Code ONS | 0520 |
Indicatif | 033 |
Démographie | |
Population | 19 635 hab. (2008[1]) |
Densité | 89 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 35° 49′ 32″ nord, 5° 52′ 56″ est |
Superficie | 220,46 km2 |
Localisation | |
![]() Localisation de la commune dans la wilaya de Batna. | |
Liens | |
Site de la commune | http://www.wilaya-batna.gov.dz/fr/content/la-commune-de-ouled-sellam |
modifier ![]() |
Le village principal s'appelle M'cil, où se trouvent le conseil municipal et les écoles, ainsi qu'un hôpital et un stade de football.
Le territoire de la commune d'Ouled Sellam est situé au nord de la wilaya de Batna.
Beidha Bordj (wilaya de Sétif) | Tella (wilaya de Sétif) | Hammam Soukhna (wilaya de Sétif) |
Beidha Bordj (wilaya de Sétif) | ![]() |
El Hassi |
Beidha Bordj (wilaya de Sétif) | Talkhamt | Ksar Bellezma |
La commune d'Ouled Sellam est composée de 10 localités[2] :
Le nom de la commune provient du nom de la tribu de Chaoui Aït Sellam.
Durant la période coloniale, la tribu des Ouled Sellam était réputée pour son charbon, qu’elle acheminait à Constantine, à tel point qu’ils étaient appelés « les charbonniers »[3]. Avant 1957, il n’existait qu’un douar, le Douar M’cil. En 1957, est fondée le commune de M’cil qui fusionnera avec la commune de Telkhemt en 1967. Après le redécoupage administratif de 1984, la commune est reconstituée et prend le nom d’Ouled Sellam, étant le nom de la tribu qui l’occupe.
Malgré l’existence de sites touristiques, ils restent sans exploitation.