Urau est une commune française située dans le sud du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie, dans le Comminges.
Urau
Vue du couretch.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Haute-Garonne
Arrondissement
Saint-Gaudens
Intercommunalité
Communauté de communes Cagire Garonne Salat
Maire Mandat
Lilian Velasco 2020-2026
Code postal
31260
Code commune
31562
Démographie
Gentilé
Urauquois
Population municipale
120 hab. (2019 )
Densité
6,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 01′ 01″ nord, 0° 57′ 27″ est
Altitude
Min. 359 m Max. 1 260 m
Superficie
18,45 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives
Huitième circonscription
Localisation
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Urau
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Urau
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Urau
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Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Rieuaris et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Urau est une commune rurale qui compte 120 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 588 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Uraulais ou Uraulaises.
Géographie
Localisation
La commune d'Urau se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 76 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 22 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 39 km de Bagnères-de-Luchon[3], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-du-Salat[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4]:
Saleich (1,6 km), Francazal (3,3 km), Castelbiague (3,4 km), Mauvezin-de-Prat (3,6 km), Fougaron (3,8 km), Lacave (4,3 km), Castagnède (4,6 km), Arbas (4,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Urau fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
Urau est limitrophe de huit autres communes dont trois dans le département de l'Ariège.
Carte de la commune de Urau et de ses proches communes.
La superficie de la commune est de 1 845 hectares; son altitude varie de 359 à 1 260mètres[7].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Rieuaris, le ruisseau d'Agal, le ruisseau de Balourin, le ruisseau de Corbeau, le ruisseau de Coume-Clare, le ruisseau de Hudiech, le ruisseau des Graus et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[9],[Carte 1].
Réseaux hydrographique et routier d'Urau.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]
Moyenne annuelle de température: 12,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 5,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Augirein», sur la commune d'Augirein, mise en service en 1990[15] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5°C et la hauteur de précipitations de 1 188,8 mm pour la période 1981-2010[17].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 13 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[19], à 12,3°C pour 1981-2010[20], puis à 12,7°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22]:
les «bois entre Saleich et Mane» (882ha), couvrant 6 communes du département[23];
les «forêts de Saleich et de l'Estelas et stations sèches de Francazal et de Salège» (3 194ha), couvrant 8 communes dont quatre dans l'Ariège et quatre dans la Haute-Garonne[24],
les «ruisseaux de l'Arbas et de Rieuaris» (64ha), couvrant 9 communes du département[25];
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[22]:
le «massif de l'Arbas» (27 233ha), couvrant 45 communes dont 24 dans l'Ariège et 21 dans la Haute-Garonne[26].
Urbanisme
Typologie
Urau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 2],[28].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (79,1%), prairies (9,8%), zones agricoles hétérogènes (9,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4%)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
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Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Urau est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[32],[30].
Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Urau est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire des massifs des piémonts des Pyrénées et des Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants-droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[33],[34]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Urau.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 15,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 94 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 80 sont en en aléa moyen ou fort, soit 85%, à comparer aux 98% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1995 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
Toponymie
Histoire
En 1871, Urau se sépare de la commune de Saleich. Avant cette date, l'histoire des deux villages est commune. Un recensement de 1829 dénombre 1 518 habitants dont 599 pour les hameaux d'Urau, Peyrégué, Courille, col de Hérégadé, Artigues, Noustens et Urale. C'est en 1846 que la population sera la plus importante avec 1 621 habitants.
Article détaillé: Saleich.
Église Saint-Maurice (1821-1879). Construite en 1821, cette église s'élève à l'emplacement d'un ancien oratoire, établi en annexe de la paroisse de Saleich. Elle subit une modification et une surélévation en 1879.
Urau a construit un Réseau d'initiative public Wi-Fi (Aménagement numérique) qui permet depuis 2007 aux habitants de bénéficier d'offres Internet haut débit via le FAI als@tis.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[37],[38].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Urau faisait partie de l'ex-canton de Salies-du-Salat et, avant le , de la Communauté de communes du canton de Salies-du-Salat).
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Haute-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Isidore Ribet
1959
Bertrand Noustens
1959
1971
Marius Fouert
1971
1989
Édouard Paturey
1989
2001
Jean Audibert
2001
2014
Jean-Paul Ortet
2014
2020
Jean-Louis Plé
mai 2020
En cours
Lilian Velasco
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2019, la commune comptait 120 habitants[Note 8], en diminution de 10,45% par rapport à 2013 (Haute-Garonne: +7,81%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
588
506
503
478
448
434
423
420
420
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
412
401
336
319
294
263
257
214
190
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2014
2019
163
142
146
136
138
137
148
128
120
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Depuis 2007, début septembre se déroulent les « Urauquoises », une manifestation culturelle destinée à faire vivre la mémoire des us et coutumes.
La fête locale se déroule à la Pentecôte depuis les années 1960, auparavant elle avait lieu en septembre autour de la Saint Maurice.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 77 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3% d'actifs (71,1% ayant un emploi et 5,3% de chômeurs) et 23,7% d'inactifs[Note 9],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 8]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 13 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 55, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,2%[I 9].
Sur ces 55 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 26% des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 92,7% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et[I 11].
Activités hors agriculture
8 établissements[Note 10] sont implantés à Urau au [I 12].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Urau), contre 25,9% au niveau départemental[I 13].
La commune est dans les «Pyrénées centrales», une petite région agricole occupant le sud du département de la Haute-Garonne, massif montagneux où s’étagent les vallées profondes, la forêt et les zones intermédiaires, les estives[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 539ha[49],[Carte 6],[Carte 7].
Culture locale et patrimoine
Vue de carrère.
Lieux et monuments
Église Saint-Maurice datant du XIXesiècle.
Grotte de Noustens.
Gouffre de Katach: profondeur -153 m, développement 200 m.
Gouffre des Lisses: profondeur -42 m, développement 70 m.
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liste des communes de la Haute-Garonne
Anciennes communes de la Haute-Garonne
Massacres perpétrés par les Allemands en France durant la Seconde Guerre mondiale
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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