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Tourcoing (/tuʁ.kwɛ̃/) est une commune française située dans le département du Nord, dans les Hauts-de-France. Avec 97 442 habitants au selon l'INSEE, elle est la quatrième ville de la région Hauts-de-France, derrière Lille, Amiens et Roubaix[1]. Elle est le chef-lieu de deux cantons.

Tourcoing

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Doriane Bécue (DVD)
2020-2026
Code postal 59200
Code commune 59599
Démographie
Gentilé Tourquennois
Population
municipale
98 656 hab. (2019 )
Densité 6 495 hab./km2
Population
agglomération
1 051 609 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 50° 43′ 30″ nord, 3° 09′ 43″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 49 m
Superficie 15,19 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Cantons de Tourcoing-1 et de Tourcoing-2
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Tourcoing
Géolocalisation sur la carte : France
Tourcoing
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Tourcoing
Géolocalisation sur la carte : Nord
Tourcoing
Liens
Site web www.tourcoing.fr

    Limitrophe de la Belgique, Tourcoing fait partie de la Métropole européenne de Lille dont elle est un des pôles urbains et la 3e commune par sa population.

    La ville est notable pour l'essor économique qu'elle a connu durant la révolution industrielle au XIXe siècle, grâce au textile.

    Elle est surnommée « la cité du Broutteux ».


    Géographie



    Localisation


    Représentations cartographiques de la commune
    Mairie
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

    Tourcoing se situe sur le versant Nord-Est de la métropole lilloise mais occupe une position géographiquement centrale au sein de l'Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai, premier groupement européen de coopération territoriale créé en pour donner un cadre institutionnel à la vaste conurbation formée par la métropole Lille-Roubaix-Tourcoing et les villes belges de Mouscron, Courtrai, Tournai et Menin. Cet ensemble totalise près de deux millions d’habitants.

    Avec la ville de Roubaix, Tourcoing appartient au Ferrain, territoire limitrophe de la Belgique qui s'étend de Comines à Lannoy.


    Situation


    Article connexe : Nord-Pas-de-Calais.

    Tourcoing fait partie intégrante de la plaine de Flandre.

    Le relief de Tourcoing est donc essentiellement plat, à une hauteur d'un peu moins d'une cinquantaine de mètres au-dessus du niveau de la mer.

    Par rapport aux villes voisines de moindre importance (Roncq, Halluin, Neuville-en-Ferrain et Mouscron), Tourcoing donne l'impression d'être un « vallon » entouré de quelques rares collines (Mont d'Halluin, Mont-à-Leux à Wattrelos...). La ville possède néanmoins des quartiers avec un peu plus de relief, tel le Brun-Pain et les Francs.

    Tourcoing n'est traversée par aucune rivière d'importance. Cette terre humide comporte par contre de nombreux ruisseaux de plus ou moins grand débit d'eau, entre autres l'Espierre et la Becque de Neuville. Ces cours d'eau sont à présent souterrains à la suite de l'expansion urbaine. La seule voie navigable et actuellement à l'air libre est le canal de Tourcoing, creusé au XIXe siècle à la suite de l'industrialisation et du prodigieux essor économique de la ville. Ce canal, qui est une ramification du canal de Roubaix qui joint la Deûle à l'Escaut, a été en partie rouvert à la navigation touristique en 2008 (programme Blue Links). Il sert de cadre durant la saison estivale au festival de Tourcoing Plage jusqu'en 2015.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Tourcoing
    Roncq Neuville-en-Ferrain Mouscron
    (Belgique)
    Bondues Wattrelos
    Mouvaux Croix Roubaix

    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 697 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[10].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 15 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].


    Voies de communication et transports


    Voies routières
    Article détaillé : Grand Boulevard.

    En 1909, le Grand Boulevard est ouvert entre Lille, Roubaix et Tourcoing[15].

    Transports en commun
    Article détaillé : Transports en commun de Lille.
    Tramway T à Tourcoing-Centre.
    Tramway T à Tourcoing-Centre.

    Tourcoing s'inscrit dans un vaste et dense réseau de transports en commun.

    Mise en place par la Métropole Européenne de Lille (MEL), une ligne de métro automatisée depuis le (ligne 2) permet de réunir beaucoup de municipalités aux alentours de Lille.Une ligne de tramway (cette ligne est surnommée par les locaux "le Mongy" du nom de son ingénieur, Alfred Mongy) dessert depuis Tourcoing les villes de Mouvaux, Wasquehal, Marcq-en-Barœul et La Madeleine, puis arrive à Lille. En outre, quatorze lignes de bus dont deux LIANE, ligne à haut niveau de services desservent toutes les villes frontalières à Tourcoing.

    Depuis 2015 la gare de Tourcoing accueille le service Ouigo. Dans le premier temps, l'ensemble des Ouigo de la Métropole européenne de Lille partaient de Tourcoing. Depuis 2018, l'offre se déploie également sur Lille[16], ne laissant plus que 2 départs par jour depuis Tourcoing.

    Tourcoing compte 25 stations de location de vélos V'Lille, vélos en libre-service, ce qui fait donc 200 vélos à disposition ainsi que des pistes cyclables aménagées.

    Au , trois stations du service d'autopartage Citiz sont en place dans la commune.


    Urbanisme



    Typologie


    Tourcoing est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[20] et 1 051 609 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (89 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,5 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].


    Morphologie urbaine


    La démocratie locale à Tourcoing est organisée autour de 16 quartiers[27] :


    Logement



    Politique de la ville


    Tourcoing, sinistrée par la crise des années 1970, remonte lentement la pente depuis quelque temps, malgré un taux de chômage élevé et une forte insécurité dans certains quartiers. Elle souffre cependant de la comparaison avec Lille, la capitale régionale qui a réussi sa reconversion économique, ainsi que Roubaix, la « rivale » de toujours, qui a enclenché le processus de relèvement plus tôt grâce à l'aide de la Communauté Urbaine Lille Métropole.

    La Ville a cependant accompli divers travaux de grande ampleur :

    Ce dernier projet répond à la tradition tourquennoise en matière de natation : c'est à l'initiative de Gustave Dron, le fameux maire de Tourcoing, que la première piscine de la ville fut construite en 1904 : ce bâtiment, typique de l'architecture locale du début du XXe siècle, accueille déjà dans une partie du bâtiment l'antenne régionale de l'Institut du Monde Arabe.

    L'écoquartier de l'Union (ou zone de l'Union) à cheval entre Roubaix et Tourcoing est un grand projet de rénovation moderne pour la ville.

    Le projet du quadrilatère des piscines en cœur de ville fait partie des projets d'aménagement en cours[29].

    La ville de Tourcoing a entrepris de vastes projets de rénovation urbaine. C'est dans ce cadre que le président Emmanuel Macron s'est rendu à Tourcoing en pour annoncer les projets de la ville[30] avec l'ancien maire Gerald Darmanin, ministre de l'action et des comptes publics.

    Les quartiers prioritaires[31] sont l'Epidème, la Bourgogne, les Phalempins, le Pont Rompu, le quartier intercommunal Roubaix-Tourcoing, le Blanc Seau, Croix Bas St. Pierre, les Virolois. Ce projet a pour but de réduire les inégalités sociales entre territoires.

    Dès le quartier de la Bourgogne[32] a été choisi parmi 200 autres quartiers prioritaires pour une rénovation urbaine nécessaire. Les travaux commenceront en 2019 et s'étaleront jusqu'en 2029. Ce projet a pour objectif d'améliorer l'image de ce quartier qui compte parmi les plus défavorisés de la ville. Pour accompagner la réhabilitation de ces quartiers, un dispositif expérimental d'emplois francs[33] a été annoncé. Il a débuté le [34] pour une durée d'un an et les entreprises recevront des primes d'environ 15 000 euros si elles embauchent des jeunes de ces quartiers afin de lutter contre les discriminations et de faire baisser le taux de chômage. En effet, celui-ci est particulièrement élevé à Tourcoing, 23.6% de la population active était sans emploi en 2014 contre 10.8% pour la France[35].

    Le quartier Bayard bénéficie par ailleurs du Programme national de revitalisation des quartiers anciens dégradés (PNRQAD)[36].


    Toponymie



    Histoire


    Article détaillé : Histoire de Tourcoing.

    Moyen Âge


    L'église Saint-Christophe.
    L'église Saint-Christophe.
    Article détaillé : Moyen Âge.

    En 1130, la première église, dédiée à Saint Vaast (qui deviendra par la suite l'église Saint-Christophe), est construite. La seigneurie de Tourcoing, qui se compose d'un bourg agricole dont les habitants augmentent leurs revenus en faisant de la draperie, surmonte difficilement les ravages de la guerre de Cent Ans et des guerres de Religion. En 1360, ses habitants obtiennent un sceau royal attestant la qualité de leurs draps. En 1491, Maximilien d’Autriche, qui domine alors le comté de Flandre, lui accorde une foire franche.


    De la Renaissance au XVIIIe siècle


    Le Grand Boulevard et le Mongy sont ouverts en 1909.
    Le Grand Boulevard et le Mongy sont ouverts en 1909.
    La Place de la Victoire.
    La Place de la Victoire.

    En 1668, la châtellenie de Lille, dont fait partie Tourcoing, est définitivement rattachée à la France.


    La Révolution française et l'Empire


    À la Révolution française, la ville compte près de 15 000 habitants.

    La ville est occupée par les ennemis coalisés de la France en 1792 et subit de nombreux dégâts[39].

    Le 29 floréal an II (), Tourcoing est le lieu de l'importante bataille de Tourcoing, entre les armées révolutionnaires françaises et celles de la première coalition. La victoire française conduisit peu après la bataille de Fleurus (1794).


    De la Belle Époque à la Seconde Guerre mondiale


    La place de la République, au début du XXe siècle.
    La place de la République, au début du XXe siècle.
    Journal L'Égalité de Roubaix-Tourcoing en 1930
    Journal L'Égalité de Roubaix-Tourcoing en 1930

    Au XIXe siècle, la ville prend un essor extraordinaire à la suite de la révolution industrielle et est l'une des « reines du textile »[40]. Sa population atteint bientôt les cent mille habitants. En 1860, l'église Saint Christophe est considérablement agrandie par l'architecte Charles Leroy. Elle devient l'un des plus beaux édifices néo-gothiques du Nord. De 1865 à 1885 est édifié l'actuel hôtel de ville par Charles Maillard. En 1906 enfin, à l'occasion de l'exposition internationale des industries textiles (qui se déroulent à Tourcoing), est édifié le beffroi de la Chambre de commerce[41]. La ville est particulièrement marquée par le mandat du maire Gustave Dron (maire de 1899 à 1919 et 1925 à 1930), qui entreprit une grande œuvre sociale[42].

    Le , un aérostat décolle de la place de la République avec un enfant de sept ans seul à bord, dans le but de montrer la maniabilité de l'appareil. Celui-ci réussira à poser le ballon en Belgique[43].

    En , à l'occasion des inventaires qui suivirent la séparation de l'Église et de l'État, à Notre-Dame de Tourcoing, le , les fidèles opposent aux fonctionnaires chargés de l'opération un barrage électrifié[44]. Le , une manifestation est organisée contre l'interdiction des processions. La gendarmerie à cheval charge durant deux heures, le curé est écroué[45].

    Le , Tourcoing connait un attentat anarchiste (Anarchisme en France) contre un commissariat[46]. En juin de la même année, on arrête huit « faiseuses d'ange », autrement dit huit avorteuses, à une époque où l'avortement est sévèrement réprimé[46].

    Par la suite, Tourcoing subit les difficiles occupations allemandes durant la Première Guerre mondiale.

    Articles détaillés : Occupation de la France du Nord-Est par l'Allemagne pendant la Première Guerre mondiale et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.

    Le , Tourcoing accueille une école pour les invalides de guerre afin de permettre leur rééducation[47].

    En 1933, José-Carlos Padrao, originaire de São Pedro do Sul, de la section portugaise de Wasquehal et Augusto De Castro, de Tourcoing fondent Le groupement des anciens combattants portugais de Wasquehal, Croix et environs qui tient son siège à la Fraternelle, au 28 rue de Flers, à Wasquehal[48].

    Elle est à nouveau occupée pendant la Seconde Guerre mondiale. Le QG de la 15e armée allemande y est installé pendant l'Occupation[49]. Un quartier de l'avenue de la Marne est réquisitionné par l'armée allemande pour y établir le quartier général de la plus importante armée allemande du front Ouest.


    Le Tourcoing contemporain


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    La "Cité du Broutteux" a été gravement touchée par la crise textile des années 1970. Il n'était pas rare à cette époque que les cafés servaient de lieu de réunion comme avec l'Union Mutualiste de Tourcoing, société de secours mutuel, qui organisait ses manifestations au café de Jules Massa, Chez Léon, place Fénelon à Wasquehal[50].


    Politique et administration



    Ancien Régime


    L’échevinâge de Tourcoing existe au moins depuis 1432. Le premier bailli fut Gautier des Prés, et les premiers échevins Pierrart de Falempin et Jean Noblet. En 1447, on trouve comme échevins : Jean du Castel, Arnoul le Maître, Jean Noblet et comme bailli Guillaume du Bus[51].

    Il existait également un échevinage spécifique au quartier des Poutrains, qui était à l'époque une baronnie indépendante (il faut préciser que Tourcoing, sous l’Ancien Régime, constituait une seule et même paroisse mais se divisait en un véritable imbroglio de fiefs féodaux)[52].

    Tourcoing et tous ses quartiers devinrent administrativement une commune avec conseil municipal lors de la Révolution, en 1790[52].


    Rattachements administratifs et électoraux


    Tourcoing et ses quartiers.
    Tourcoing et ses quartiers.

    La ville se trouve dans l'arrondissement de Lille du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 des neuvième et dixième circonscription du Nord.

    La ville a été répartie en 1801 entre les cantons de Roubaix-Nord et de Tourcoing-sud. En 1895 cette répartition est modifiée avec la constitution d'un canton de Tourcoing-Nord-Est[53].

    Depuis lors, la ville était le chef-lieu de trois cantons :

    Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais le bureau centralisateur des cantons de Tourcoing-1 et de Tourcoing-2.


    Intercommunalité


    La commune est membre depuis sa création en 1967 de la communauté urbaine de Lille (Lille Métropole Communauté urbaine ou LMCU), transformée le pour former la Métropole européenne de Lille.


    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans le Nord.

    Au premier tour des élections municipales de 2014 dans le Nord, Michel-François Delannoy (PS-PC-EELV-PRG-MRC) est arrivé en tête à Tourcoing, dans le département du Nord. Le maire sortant a obtenu 40 % des suffrages et s'est placé devant Gérald Darmanin (UMP-UDI), qui a récolté 37,3 % des voix.

    Au second tour, le candidat UMP Gérald Darmanin remporte néanmoins les élections municipales à Tourcoing avec 45,61 % des voix devant Michel-François Delannoy (PS) et Jean-François Bloc (FN)[54]. Il démissionne après sa nomination au Gouvernement Édouard Philippe[55] et est remplacé comme maire de Tourcoing par son ancien premier-adjoint, Didier Droart en .

    Celui-ci décède fin , et le conseil municipal du élit Jean-Marie Vuylsteker comme maire et Gérald Darmanin comme premier maire-adjoint. Celui-ci, qui avait envisagé de démissionner du gouvernement pour reprendre la direction de la ville, annonce son intention de conduire une liste municipale lors des élections de 2020 et de conquérir la présidence de la métropole européenne de Lille[56],[57].


    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1899 1919 Gustave Dron[58] Radical Médecin
    Conseiller général de Tourcoing-Sud (1887 → 1904)
    Vice-président du conseil général du Nord (1900 → 1902)
    Député du Nord (1889 → 1914)
    Commandeur de l'Ordre de Léopold, Chevalier de la Légion d'honneur
    1919 1925 François Leduc Solidarité républicaine Médecin
    1925 1930 Gustave Dron[58] Radical Médecin
    Conseiller général de Tourcoing-Sud (1887 → 1904)
    Sénateur du Nord (1924 → 1930)
    Vice-président de la Chambre des députés
    Président du conseil supérieur de l’Assistance publique (1922 → ?)
    Commandeur de l'Ordre de Léopold, Chevalier de la Légion d'honneur
    Décédé en fonction
    1930 1930 Jules Brassart Solidarité républicaine  
    1930 1935 Albert Inghels[59] SFIO Fileur dans une usine cotonnière
    Cafetier
    Employé municipal à Lille
    Député du Nord (1914 → 1924 et 1932 → 1936)
    Conseiller général du canton de Tourcoing-Nord-Est
    1935 1941 Edmond Salembien Radical Industriel
    1941 1944 Léon Marescaux Gauche radicale vice-président de la Chambre de commerce du Nord
    Conseiller au commerce extérieur
    1944 1947 Fernand Lamblin Radical/PCF Industriel
    Comité de libération nationale
    1947 1954 Louis Paris SFIO Négociant en textile, marchand de journaux
    Président de la délégation municipale[C'est-à-dire ?]
    1954 juillet 1955 René Debesson SFIO Professeur honoraire
    Sénateur du Nord (1973 → 1979)
    Conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais (1973 → 1979)
    Démissionnaire
    juillet 1955 mars 1959 Louis Paris SFIO Négociant en textile, marchand de journaux
    Président de la délégation municipale[C'est-à-dire ?]
    Conseiller général de Tourcoing-Nord-Est (1955 → 1961)
    mars 1959 mars 1977 René Lecocq UDR Professeur d'anglais et de lettres
    Conseiller général de Tourcoing-Sud (1964 → 1976)
    mars 1977 août 1979 Guy Chatiliez MRP puis PS Journaliste à Nord Éclair
    Décédé en fonction
    août 1979[60] mars 1983 Maurice Devloo PS Employé de la CPAM de Tourcoing
    mars 1983[61] mars 1989 Stéphane Dermaux UDF Directeur commercial
    Député du Nord (1986 → 1988)
    Député européen (1988 → 1989)
    Conseiller général de Tourcoing-Sud (1976 → 1988)
    mars 1989 mars 2008[62],[63] Jean-Pierre Balduyck PS Salarié textile Syndicaliste
    Député du Nord (10e circ) (1988 → 1993 puis 1997 → 2002)
    Conseiller général de Tourcoing-Nord-Est (1979 → 1985)
    Vice-président de Lille Métropole Communauté urbaine (2002 → 2008)
    mars 2008[64] avril 2014[65] Michel-François Delannoy PS Assistant parlementaire
    Conseiller général de Tourcoing-Nord-Est (1998 → 2010)
    Conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais (2010 → 2015[66])
    Vice-président de Lille Métropole Communauté urbaine (2008 → 2014)
    avril 2014[67],[68] septembre 2017[55] Gérald Darmanin UMP-LR
    puis LREM
    Ministre de l'Action et des Comptes publics (2017 →)
    Député de la 10e circonscription du Nord (2012 → 2016)
    Conseiller régional des Hauts-de-France (2016[69] →)
    Vice-président du conseil régional des Hauts-de-France (2016 → 2017)
    Vice-président de la MEL (2014 → 2017)
    Démissionnaire lors de sa nomination comme ministre
    septembre 2017[70] janvier 2019[71] Didier Droart LR Pâtissier retraité
    Décédé en fonction
    7 février 2019[57],[72] 23 mai 2020 Jean-Marie Vuylsteker LR  
    23 mai 2020 3 septembre 2020[73] Gérald Darmanin LREM Ministre de l'Action et des Comptes publics (2017 → 2020)
    Ministre de l'Intérieur (2020 →)
    Démissionnaire
    13 septembre 2020[74] En cours Doriane Bécue DVD Adjointe aux affaires sociales
    Vice-présidente du conseil départemental du Nord (2015 →)

    Jumelages


    Villes jumelées avec Tourcoing
    Villes jumelées avec Tourcoing
    VillePaysPériode
    arrondissement de Mitte[75]Allemagnedepuis le
    Biella[76],[75]Italiedepuis le
    Bottrop[77],[75]Allemagnedepuis le
    Guimarães[75],[78]Portugaldepuis le
    Jastrzębie Zdrój[75],[79]Polognedepuis le
    Mouscron[75]Belgiquedepuis le
    Mühlhausen[75]Allemagnedepuis le
    Partyzanski District (en)[75]Biélorussiedepuis
    Rochdale[75],[80]Royaume-Unidepuis le

    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[81],[Note 8]

    En 2019, la commune comptait 98 656 habitants[Note 9], en augmentation de 4,98 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    12 11011 38011 99914 66117 97319 96622 50326 83427 615
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    29 64633 49838 26243 32248 63451 89558 00865 47773 353
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    79 24381 67182 64478 60081 37981 97278 39376 08083 416
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    89 25898 755102 23996 90893 76593 54092 35792 01897 476
    2019 - - - - - - - -
    98 656--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[82].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 44,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 46 682 hommes pour 50 760 femmes, soit un taux de 52,09 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[83]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    1,3 
    3,7 
    75-89 ans
    6,0 
    11,0 
    60-74 ans
    12,0 
    17,5 
    45-59 ans
    16,7 
    21,0 
    30-44 ans
    20,9 
    20,6 
    15-29 ans
    21,0 
    25,7 
    0-14 ans
    22,1 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[84]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Ménages selon leur composition en 2014

    Cette section doit être actualisée.
    Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.
    Raison : Données obsolètes.
    Nombre de ménages[85] Population des ménages
    2014 % 2009 % 2014 2009
    Ensemble 37 700 100,0 35 932 100,0 93 940 91 225
    Ménages d'une personne 12 400 32,9 11 317 31,5 12 400 11 317
    hommes seuls 5 405 14,3 4 457 12,4 5 405 4 457
    femmes seules 6 995 18,6 6 860 19,1 6 995 6 860
    Autres ménages sans famille 882 2,3 931 2,6 2 269 2 376
    Ménages avec famille(s) dont la famille principale est : 24 418 64,8 23 684 65,9 79 271 77 532
    un couple sans enfant 7 263 19,3 7 166 19,9 14 955 14 796
    un couple avec enfant(s) 11 730 31,1 11 561 32,2 48 452 48 109
    une famille monoparentale 5 424 14,4 4 958 13,8 15 864 14 627

    Enseignement


    Tourcoing draine la majeure partie des élèves de son bassin de population, qui se compose des communes plus ou moins limitrophes de Roncq, Neuville-en-Ferrain, Halluin, Mouvaux, Linselles, Bondues, Bousbecque et Comines ; en témoigne le réseau de transport scolaire qui débouche toujours sur le centre-ville de Tourcoing.

    Tourcoing compte trois prestigieux établissements d'enseignement secondaire, historiquement liés à la ville : pour l'enseignement privé catholique, l'Institution libre du Sacré-Cœur[86], fondée en 1666 ; pour l'enseignement public en France, le Lycée d'État Gambetta[87], créé en 1885. Et le lycée numérique Colbert, nationalement reconnue, public aussi.

    La carte scolaire de Tourcoing est riche : une vingtaine d'établissements secondaires, dont deux lycées d'enseignement général, deux lycées d'enseignement technologique, et un lycée d'enseignement professionnel. On notera le nombre relativement important de collège privés catholiques.

    Depuis 2004, l'École Nationale des Douanes s'est installée à Tourcoing.

    En 2008, avec le projet le Virolois se réinvente le Lycée Le Corbusier Tourcoing a déménagé rue des Piats dans une structure design et technologique offrant à ses élèves spécialisés en BTP et Communication graphique la possibilité de travailler dans des ateliers modernes et professionnels.

    L'Université de Lille est présente à Tourcoing par l'intermédiaire de son Département Arts Plastiques, ainsi que de l'Institut Universitaire de Technologie de Lille (site de Tourcoing).


    Culture


    La Ville compte également de nombreuses structures artistiques et culturelles (liste non exhaustive) :

    Beffroi de la Chambre de commerce de Tourcoing.
    Beffroi de la Chambre de commerce de Tourcoing.
    Espaces verts
    Théâtre
    Musique
    Musées
    Médiathèques
    Arts

    Santé


    La ville de Tourcoing possède un centre hospitalier, le centre hospitalier Gustave-Dron[104].


    Sports



    Manifestations culturelles et festivités



    Religions



    Christianisme

    Catholicisme
    L'église Sainte-Anne dans le quartier du Brun-Pain
    L'église Sainte-Anne dans le quartier du Brun-Pain
    L'église Notre-Dame de la Marlière
    L'église Notre-Dame de la Marlière

    Le doyenné de Tourcoing, qui fait lui-même partie du diocèse de Lille, est subdivisé en cinq paroisses (Saint-Pierre, Saint-Éloi, Saint-Jean-l'Évangéliste, Notre-Dame-des-Peuples et Sainte-Famille).

    Antoinisme
    Temple du culte antoiniste
    Temple du culte antoiniste
    Protestantisme

    Islam

    Sunnisme

    Économie


    La ville de Tourcoing compte, en 2018, 21 grandes entreprises (chiffre d'affaires de plus de 10 M€)[120] avec une dominante dans la distribution.


    Textile


    Le Peignage de la Tossée : aux heures de gloire du textile français, en 1870, Adolphe Binet construit un atelier de peignage de laine qui après s'être appelée la société Binet fils devient en 1896 la société anonyme du Peignage de la Tossée. En 1968 le Peignage de la Tossée situé au 157 rue de Roubaix, absorbe le Peignage et Carbonisage de Mouvaux. En 1982 le Peignage de la Tossée est repris par la Société Dewavrin qui absorbe également le Peignage de l'Epinette, façonnier d'Alphonse Six. La fusion en 1988 des sociétés Alphonse Six et Dewavrin père et Fils donnera la Société Standard Wool France, filiale du groupe américain Standard Commercial Corporation (Caroline du Nord). L'activité principale de peignage de la laine (15 % de la production française), ira de 6 000 t de laine par an en 1949, pour atteindre 15 320 t en 1973 et jusque 160 000 t/an. S'y est ajoutée l'exploitation de la lanoline et de la suintine (graisses de la laine) qui sont raffinées pour les industries pharmaceutiques et cosmétiques, celle de la lanoline ira jusque 2 800 t/an. Le peignage de la Tossée occupera jusque 1 200 ouvriers en 1949. Fermé définitivement le , le site de l'ancienne usine de la Tossée se trouvant sur la Zone de l'Union a vocation à redevenir une "cité intégrée" mêlant en son sein logements, services, commerces de proximité, entreprises et équipements[121].

    L'entreprise Vestiaire collective est installée depuis 2017 à la Tossée[122], permettant de redonner au site une identité textile[123].


    Secteur tertiaire


    Longtemps en retard sur le tertiaire, la ville de Tourcoing bénéficie depuis une petite dizaine d'années d'une dynamique tertiaire avec notamment 2 pôles :

    - L'ensemble tertiaire appelé Alhena[124]: composé de 2 pépinières d'entreprises (structure accompagnement de projet de création d'entreprise), ces 4 bâtiments d’activité sont destinés à un public professionnel diversifié tel que des artisans ou encore les professions libérales.

    - L'entreprise Booking.com : D'abord installé à partir de 2016 rue de Tournai grâce aux fonds de la communauté urbaine, l'entreprise a déménagé en place Sébastopol[125] dans un nouveau bâtiment, plus grand, permettant d'accueillir de nouveaux salariés[126].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    La gare de Tourcoing.
    La gare de Tourcoing.

    Édifices tourquennois majeurs :

    L'hôtel de ville de Tourcoing.
    L'hôtel de ville de Tourcoing.
    Article détaillé : Hôtel de ville de Tourcoing.

    Architecture d'origine civile :

    Architecture d'origine religieuse :

    L'hospice d'Havré réhabilité en « Maison Folie ».
    L'hospice d'Havré réhabilité en « Maison Folie ».

    Le canal de Roubaix est remis en navigation en 2008 (programme Blue Links). Il desservait notamment le site la « Zone de l’Union », un des plus grands chantiers de France de réhabilitation d’une friche industrielle de 80 ha environ s'étendant sur Roubaix, Tourcoing et Wattrelos (comprenant l'ancienne brasserie Terken) pour y aménager une zone d’activités de haute qualité environnementale, en associant les habitants des quartiers au projet, dans une dynamique de démocratie participative.


    Personnalités liées à la commune



    Tourcoing dans les arts


    La ville ou ses monuments ont servi de décors ou de lieux de tournages à plusieurs films et notamment :

    Par ailleurs, la chanson Un Clair de lune à Maubeuge évoque la ville dans un de ses vers : " Tout çà n'vaut pas le doux soleil de Tourcoing"


    Héraldique


    Les armes de Tourcoing se blasonnent ainsi : « D'argent à la croix de sable chargée de cinq besants d'or ».


    Identité visuelle (logo)



    Pour approfondir


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes


    Géographie
    • Nord-Pas-de-Calais
    • Flandre romane
    • Arrondissement de Lille
    • Lille Métropole Communauté urbaine
    • Lille
    • Ferrain
    • Roubaix
    Histoire et patrimoine Personnalités
    • Pierre de Guethem
    • Famille de Croÿ
    • Gustave Dron
    • Jules Watteeuw
    • Brigitte Fossey
    • Christian Vanneste
    • Marcel Lefebvre
    Autres
    • Institution libre du Sacré-Cœur
    • Lycée Gambetta de Tourcoing
    • Musée du 5 juin 1944
    • Musée des Beaux-Arts
    • Zone de l'Union
    • Le Fresnoy
    • Géants du Nord
    • Fête des allumoirs
    • Cimetières Militaires du Commonwealth :

    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Le carillon est un des plus importants de France. Deux carillons ont été construits aux XVIIe et XVIIIe siècles avant la destruction pendant la Révolution française. Un carillon restauré en 1819 et 1823 disparait pendant la Première guerre mondiale en 1917 où il est réquisitionné par les Allemands. L'actuel date de 1961. Une école nationale de carillon a été créée en 1971. A CL. « Pourquoi le carillon de Tourcoing est-il l'un des plus importants de France ?», dans La Voix du Nord du 5 août 2020, Tourcoing et la métropole C.

    Références


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    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) », sur observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Tourcoing et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Tourcoing et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    15. Quel Grand Boulevard dans 100 ans ? (lavoixdunord.fr)
    16. « Tourcoing - La présence du Ouigo à Lille ne le fera pas disparaître de Tourcoing », sur La Voix du Nord (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. « Mon Conseil de quartier », sur tourcoing.fr (consulté le ).
    28. Les grands projets de la Ville sur le site de la Ville de Tourcoing
    29. « Tourcoing - D’où vient le Quadrilatère des piscines? Décryptage », sur La Voix du Nord (consulté le ).
    30. « Discours d’Emmanuel Macron à Tourcoing, les 5 mesures à retenir », Ouest-France.fr, (lire en ligne, consulté le ).
    31. (en) « ZFU - Territoire entrepreneurs La Bourgogne, Alma, Cul de Four, Fosse aux Chênes, Epidème, Roubaix centre, Epeule, Sainte-Elisabeth - Zone Franche Urbaine de la commune: Croix - SIG Politique de la Ville », sur sig.ville.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Nouveau visage pour la Bourgogne », tourcoing.fr, (lire en ligne, consulté le ).
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    34. « Emplois francs : début de l’expérimentation - Actualité fonction publique territoriale », Actualité fonction publique territoriale, (lire en ligne, consulté le ).
    35. « Emploi et chômage à Tourcoing (59200) », sur journaldunet.com (consulté le ).
    36. Histoire de Tourcoing, sur le site de la Ville
    37. « page définitivement disparue »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    38. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 58, lire en ligne.
    39. Tourcoing, fiche pratique sur le site de Lille Métropole
    40. Chambre de Commerce, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing
    41. Biographie de Gustave Dron, sur le site du Sénat de la République française
    42. Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, p. 41
    43. Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, p. 49
    44. Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, p. 51
    45. Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 53
    46. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 41.
    47. La gazette du nord du 11/09/1933 (bn-r.fr)
    48. Canal de Tourcoing pendant les guerres, consulté le 15 mai 2013
    49. Gazette du Nord du 13/10/1923 (bn-r.fr)
    50. Histoire de Tourcoing, J-E Van Den Driessche (1928)
    51. Ibid.
    52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    53. Gérald Darmanin (UMP) élu face au maire sortant PS (rtl.fr)
    54. AFP, « Ministre, Gérald Darmanin abandonne son fauteuil de maire de Tourcoing : Comme l'a imposé l'Élysée, Gérald Darmanin a cédé samedi son fauteuil de maire de Tourcoing. Son premier adjoint est désormais le premier édile de la ville nordiste », Europe 1, (lire en ligne, consulté le ).
    55. AFP, « Gérald Darmanin choisit de ne pas redevenir maire de Tourcoing et reste au gouvernement : Le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin reste 1er adjoint à Tourcoing et annonce sa candidature en 2020 », France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne, consulté le ) « J'aime Tourcoing, c'est là où je retournerai quand mon expérience gouvernementale se terminera. Et je serai bien sûr candidat aux élections municipales en 2020, car je n'imagine pas la vie politique sans passer par le suffrage universel, sans avoir un ancrage local", a poursuivi M. Darmanin, qui a "tout de suite écarté" l'hypothèse d'un cumul de fonctions de maire et de ministre. ».
    56. Q. V., AFP, « Tourcoing : Jean-Marie Vuylsteker élu maire après le décès de Didier Droart, Darmanin reste premier adjoint : Jean-Marie Vuylsteker est élu de Tourcoing depuis 1971. », France 3 Hauts-de-France, (lire en ligne, consulté le ) « Âgé de 75 ans, M. Vuylsteker, élu de droite tourquennois depuis 1971, succède au gaulliste Didier Droart, décédé fin janvier à 71 ans des suites d'un cancer ».
    57. « Gustave Dron (1856-1930) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    58. « Albert Inghels (1872-1941) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    59. Peter Maenhout, « Les vœux du maire : une tradition de 30 ans », Nord Éclair, (lire en ligne).
    60. « Histoire locale: Stéphane Dermaux maire de Tourcoing, 30 ans déjà… », Nord Éclair, (lire en ligne).
    61. Geoffroy Deffrennes, « Tourcoing : Jean-Pierre Balduyck, maire de l'ombre », Le Monde, (lire en ligne).
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    На других языках


    [de] Tourcoing

    Tourcoing [.mw-parser-output .IPA a{text-decoration:none}tuʀˈkwɛ̃] (niederländisch Toerkonje) ist eine französische Stadt im Département Nord in der Region Hauts-de-France. Tourcouing ist Nachbarstadt von Roubaix und liegt unweit von Lille. Tourcoing hat 98.656 Einwohner (Stand 1. Januar 2019).

    [en] Tourcoing

    Tourcoing (French: [tuʁkwɛ̃]; Dutch: Toerkonje [tuːrˈkɔnjə]; West Flemish: Terkoeje; Picard: Tourco) is a city in northern France on the Belgian border. It is designated municipally as a commune within the department of Nord.[2] Located to the north-northeast of Lille, adjacent to Roubaix, Tourcoing is the chef-lieu of two cantons and the fourth largest city in the French region of Hauts-de-France ranked by population with about 97,000 inhabitants.

    [es] Tourcoing

    Tourcoing es una ciudad y comuna francesa del departamento del Norte, en la región de Alta Francia.
    - [fr] Tourcoing

    [ru] Туркуэн

    Туркуэ́н (фр. Tourcoing, пикард. Tourco, Tourtchuin) — коммуна во Франции, регион О-де-Франс, департамент Нор, округ Лилль, кантоны Туркуэн-1 и Туркуэн-2. Третий по численности населения город департамента, расположен на границе с Бельгией, в 11 км к северо-востоку от Лилля. В центре города находится железнодорожная станция Туркуэн линии Лилль-Мускрон.



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