Petit-Mars[pə.ti.maʁ]Écouter est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Le village se situe au sein du pays nantais et de la Bretagne historique[1]. Elle se trouve à environ 21 km au nord de la ville de Nantes[2] et à 38 km au sud de Châteaubriant[2].
Le relief de la commune est marqué par la présence de l'Erdre et de marais à l'ouest dans une zone de faibles altitudes (3 à 6 mètres)[2]. Au nord de la commune, l'altitude reste comprise entre 10 et 20 mètres d'altitude, notamment par la présence du ruisseau de la Guinelière qui rejoint le ruisseau du Râteau pour former le Verdier, lequel se jette dans l'Erdre[2].
Les points culminants de la commune se trouvent à l'ouest et au sud-ouest, avec une altitude maximale de 43 mètres à proximité du lieu-dit de Le Boisabeau[2].
Géologie
Le sous-sol de Petit-Mars contient un filon de gneiss, exploité à la carrière de la Pommeraie[5].
Hydrographie
La principale caractéristique hydrographique de Petit-Mars est l'Erdre qui s'écoule à l'ouest de la commune et forme le lac de la plaine de la Poupinière. À l'est du lac se trouve le marais de Petit-Mars dans lesquels deux petits lacs se trouvent: le mortier noir et le mortier de Paquillès[2]. Il s'agit d'un site protégé Natura 2000, appelé les marais de l'Erdre qui s'étend le long de l'Erdre en direction de Carquefou[6].
La limite sud de la commune est formé par le ruisseau de la Déchausserie, qui sépare également le marais de Petit-Mars et celui de Saint-Mars[2].
Le ruisseau du Tertre rouge et le ruisseau de la Guinelière (continuité du ruisseau de la Marquerie) traversent Petit-Mars d'est en ouest. Ce dernier rejoint le ruisseau de Montagné (lequel avait été rejoint par le Rateau aux Touches) pour former Le Verdier[2].
Climat
La station météo la plus proche est celle de Nantes, dont les relevés sur la période 1961-1990 sont les suivants[7]:
Petit-Mars est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Petit-Mars, une unité urbaine monocommunale[11] de 3 601 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].
Morphologie urbaine
La commune est composée d'un bourg principal et d'autres lieux-dits, hameaux et écarts listés ci-dessous[2]:
Beau-Soleil
Beaujour
Le Boisabeau
Caberger
la Baudouinière
la Boissière
la Bosse
la Bourdinière
la Bussonière
la Charraie
la Chaussée
la Chutte
la Coquinière
la Foucaudière
la Furetière
la Galopinière
la Gânerie
la Gautrie
la Gonterie
La Guibietière
la Guinelière
la Hardière
la Jarrie
la Joussière
la Lorie
la Maison neuve
la Marquerie
la Milleterie
la Pénoue
la Pierre
la Pommeraie
la Renoulière
la Riotelière
la Rivière
la Robinière
la Viaudière
Launay
le Bois Orient
le Breil
le Chalonge
le Chêne long
le Haut Plessis
le Jaunais
le Lindron
le Plessis
le Pont Hus
le Portail de fer
le Prateau
le Rondray
le Verger
le Vieux-Bourg
le Vigneau
les Bernards
les Closes
les Dureaux (parc d'activités des Dureaux)
les Hardas
les Portes
les Rochettes
les Varennes
Marque d'Oie
Voies de communication et transports
Transports routiers
La D178 arrive au bourg de Petit-Mars par le sud et se prolonge en direction du nord-ouest, vers Nort-sur-Erdre. La D31, quant à elle, part de la D178 dans le bourg de Petit-Mars et se dirige vers Les Touches. La D223 relie le bourg à Ligné[2].
L'aérodrome d'Ancenis est la piste la plus proche du bourg de Petit-Mars. Cependant, l'aéroport international le plus proche est l’aéroport international Nantes Atlantique, situé au sud-ouest de Nantes[2].
Histoire
Époque romaine
À l'origine, les marais étaient recouverts par la forêt de Mars, que les Romains défrichent afin d'établir leur camp nord pour surveiller la cité des Namnètes[16]. Les restes enfouis d'un hippodrome et d'un théâtre romain ont d'ailleurs été découverts sur la commune à la fin du XIXesiècle[17]. Ces monuments dateraient de l'époque du l'empereur Hadrien (IIesiècle).
Moyen Âge
Née vers l'an 1000 autour du château des seigneurs de «Marz», la bourgade de l'époque est aujourd'hui représentée par le «Vieux Bourg», situé à environ 1,5 km à l'ouest du bourg actuel. Outre le contrôle de la terre protégée par des endroits fortifiés (le Pont Hus, la Pommeraye, la Blandinière, le Breil...), les seigneurs de Marz surveillaient également le commerce sur l'Erdre.
Renaissance
De 1784 à 1787, des levés topographiques ont été effectués dans la région afin d'établir la carte de France. Les Touches sur la carte de Cassini.
Les moyens de communication se modifient faisant perdre à l'Erdre son intérêt: la diligence remplace le coche d'eau, les attelages se substituent aux péniches. L'activité économique se déplace alors vers les axes de circulations routières et donne ainsi naissance en 1649 au nouveau bourg du Petit-Mars.
XVIIIesiècle
Durant la Révolution, la plupart des terres de la commune dépendaient de la famille de Charette de La Contrie et le Petit-Mars est plutôt attiré chouannerie.
XIXesiècle
La première pierre de l'église a été posée le , elle fut terminée en 1880, quant au clocher il date de 1900.
XXesiècle
Aujourd'hui, Petit-Mars voit sa population augmenter du fait de sa proximité avec Nantes Métropole dont les limites sont situées à environ 20 km. Afin de répondre aux besoins cette nouvelle population, de nombreux aménagements ont été réalisés (écoles, salles de sport, bibliothèque, halte garderie, sentiers pédestres et VTT, plan d'eau…).
Politique et administration
L'article histoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination des maires de la commune.
Enseignant, ancien adjoint Conseiller général (2011 → 2015) puis départemental (2015 → ) Vice-président de la CC d'Erdre et Gesvres (2014 → 2020)
Population et société
Démographie
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Selon le classement établi par l'Insee, Petit-Mars est une ville isolée qui fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Nort-sur-Erdre[20]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme «peu dense»: 98% des habitants résidaient dans des zones «peu denses» et 2% dans des zones «très peu denses»[21].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2019, la commune comptait 3 755 habitants[Note 12], en augmentation de 5,27% par rapport à 2013 (Loire-Atlantique: +7,58%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 247
1 035
1 095
1 197
1 345
1 260
1 355
1 400
1 415
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 441
1 422
1 421
1 382
1 400
1 374
1 414
1 374
1 361
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 392
1 362
1 290
1 143
1 104
1 068
1 084
1 013
1 055
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
1 062
1 086
1 204
1 800
2 309
2 438
3 269
3 388
3 520
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
3 601
3 755
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,1%, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,2% la même année, alors qu'il est de 23,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 863 hommes pour 1 813 femmes, soit un taux de 50,68% d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
0,3
3,7
75-89 ans
4,7
12,8
60-74 ans
12,7
22,5
45-59 ans
21,6
21,5
30-44 ans
23,7
16,0
15-29 ans
13,6
23,1
0-14 ans
23,5
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[27]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,7
5,8
75-89 ans
8,6
14,7
60-74 ans
16
19,6
45-59 ans
18,9
20,1
30-44 ans
19,2
19,2
15-29 ans
17,5
20
0-14 ans
18
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments civils
Château du Pont-Hus
le château du Pont-Hus ou Ponthus (XVIIIe – XIXesiècle). Au XIIIesiècle (vers 1200-1250), en remplacement de l'ancien château féodal édifié en 1070, Hus de La Musse (ou Mure ou Muce) construit une nouvelle forteresse[Note 13].
le manoir du Breil (XVe-XVIe-XVIIIe-XIXesiècle). Il était jadis un fort bien défendu, avec murs d'enceinte et douves. Propriété successive des familles Tessier-Guinel, de la Tullaye (ou Tullay), Rousseau du Hardaz et de La Lohérie;
le manoir de la Pommeraie (XVIe-XVIIIe-XIXesiècle). La Pommeraie est entourée de vieux murs qui cernent deux corps de logis anciens. Le plus massif garde des lucarnes de style Louis XIII. L'autre que l'on prendrait pour un ancien sanctuaire, porte la date de 1647. Il s'agit de la maison natale de Mathurin La Ramée (en 1571) qui deviendra recteur de Saint-Mars-du-Désert. Propriété de la famille Deluyne ou De Luynes (héritiers des Goyon de la Muce Ponthus) du XVIIIe au XIXesiècle et de la famille Cormier au milieu du XIXesiècle;
le manoir de la Bouffetière, reconstruit en 1724. On remarque plusieurs entrées monumentales. La chapelle se trouvait jadis à l'angle droit du logis à lucarnes.
la maison (XVIesiècle), située au Vieux-Bourg. Le corps du logis date du XVIesiècle. Les autres parties de l'édifice sont rajoutées ultérieurement;
l'ancien logis de la Chaussée. Propriété de la famille Simon;
l'ancien logis de la Giraudière. Propriété de la famille Martineau, puis de la famille Goguet de la Salmonière, alliée à la famille de Bonchamp;
l'ancien logis de la Lorie. Propriété de la famille Rouxeau des Fontenelles. La Lohérie est une vieille gentilhommière où vécurent les de Butay, puis les de Brissac et de la Colomberie;
la fontaine du Tertre-Rouge. Cette fontaine a pour vertu populaire de guérir la fièvre;
le moulin des Rochettes (XIXesiècle);
le moulin de la Bosse (XIXesiècle);
le moulin de Launay ou Jaunay (XIXesiècle);
les anciens moulins du Tertre Rouge, de La Fellière, du Boisabeau ;
la découverte de silex taillé au lieu-dit Boisabeau (époque néolithique);
la présence de ruine de l'hémicycle d'un théâtre romain (dans la lande de Coussol), ainsi que des tuiles de «Villae» sur les coteaux du Vieux-Bourg (époque romaine). Le théâtre de Coussol, situé dans le pré Attimont, en bordure du marais, est formé de deux murs parallèles dessinant des demi-cercles et le sol descend en pente douce jusqu'au mur de scène;
l'hippodrome du Breil. Il s'agit d'un mur circulaire de 70 cm de large, datant de l'époque gallo-romaine;
le four (XVIesiècle), situé au Vieux-Bourg. La chapelle Sainte-Catherine, première église paroissiale, démolie vers 1904, se trouvait jadis située à proximité.
Monuments religieux
Réplique de la grotte de Lourdes
l'église Saint-Pierre (1878-1900). La première église paroissiale était située au Vieux-Bourg. Lors du transfert du village vers 1649 aux Vignereaux, la chapelle Notre-Dame de Patience est agrandie pour devenir église paroissiale du nouveau village. Deux cloches sont bénites en 1757 ayant pour parrain et marraine: messire Amaury Goyon de Marcé du Ponthus et dame Charlotte Angier, de Lohéac, marquise de la Chauvelière en Joué. En 1769, a lieu le mariage de Jean Athimon de Carquefou et demoiselle Renée Le Clerc, fille de Thomas Le Clerc et de Renée Simon. En 1785, il y a translation de reliques de la vraie croix, du château du Ponthus en l'église paroissiale de Petit-Mars (il s'agit d'un don fait par messire Amaury de Goyon, la relique ayant été reçue de Rome en 1760). Trop petite, il est alors décidé de construire une nouvelle église: la première pierre est posée le et l'église est bénite en 1880. Les travaux de l'édifice sont terminés en 1880 et le clocher en 1900. Le clocher est doté en 1901 de trois cloches: la grosse pèse 1 359 kilos, la moyenne pèse 972 kilos et la petite pèse 707 kilos (parmi les noms gravés, ceux de Amaury de Goyon, Émilie de Goyon de Marcé, Alexandrine Courgeon). Le maître-autel, qui date de 1904, est sorti de l'atelier de Monsieur Vallet. À noter qu'en 1668, César de la Musse est maintenu par le roi dans la jouissance des droits de prééminences et de fondation des églises de Ligné, Nort, Petit-Mars et les Touches;
le calvaire (XIXesiècle) consacré à la Vierge et situé rue des Acacias. Il marque l'emplacement de l'ancienne chapelle Notre-Dame-de-la-Patience, démolie lors de l'édification de la nouvelle église paroissiale au XIXesiècle;
la grotte de Lourdes (1958) située au lieu-dit Les Portes. Une pierre à inscription (datant de 3000 - 5000 av. J.-C.)[réf.nécessaire] est adossée au mur droit intérieur de la grotte. On y trouve, depuis 1959, la pierre tombale de Claude Amaury, seigneur de La Musse.
Entreprises
Le haras de Hus, propriété de Xavier Marie, le fondateurs de la chaîne de magasins Maisons du monde.
Emblèmes
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de la Loire-Atlantique.
Blasonnement:
D'argent à la fasce ondée d'azur, accompagnée en chef d'un casque antique de légionnaire romain de gueules accosté de deux mouchetures d'hermine de sable, et en pointe de trois croissants aussi de gueules ordonnés 2 et 1, celui en pointe renversé.
Commentaires: La fasce ondée rappelle l'Erdre; le casque de légionnaire (et non d'officier) fut trouvé dans les marais de la Plaine de Mazerolles où était établie la légion de l'Alouette; les trois croissants sont armes de Guillaume Chauvin, chancelier du duc François II de Bretagne, et propriétaire à Petit-Mars. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par le docteur Thobi, MM.Durivault et Robert Louis (délibération municipale du ).
Devise
La devise de Petit-Mars: Égale aux aïeux.
Personnalités liées à la commune
Charles Goguet de La Salmonière (1764-1832), officier de l'Armée catholique et royale de Vendée
Théodore Bivaud (1775-1854), homme politique français
Jean Pinard, révolutionnaire français, fondateur d'une fabrique de savon sur la commune;
Kevin Staut, cavalier français né en 1980, s'étant entraîné aux Haras de Hus, sur la commune.
Léon Maître, Les villes disparues de la Loire-Inférieure, Impr. de V. Forest et E. Grimaud, (lire en ligne)
Léon Maître, Les monuments romains de Coussol et du Breil en Petit Mars (Loire Inférieure), dans le Bulletin de la Société archéologique de Nantes et du département de la Loire-inférieure, tome vingt-cinquième, année 1886, premier semestre, pages 94 à 115.
J. de Witte, «Nouvelles diverses», Gazette archéologique, Paris, A. Levy, (lire en ligne)
Société académique de Nantes et de la Loire-Atlantique, Annales de la Société royale académique de Nantes et du département de la Loire-Inférieure, Nantes, Mellinet-Malassis, (lire en ligne), p.196-199
Déclaration de renonciation partielle à l’activité de carrière Demande de renouvellement partiel et d’extension d’autorisation de carrière: Résumé non-technique, GéoplusEnvironnement, (lire en ligne)
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Henri Marie Joseph Athanase Georges de Charette de La Contrie, né le à Nantes, décédé le à Nantes.
Joseph Diot, né le à Petit-Mars, décédé en mars 1958.
Réélu en 1953.
Réélu en 1959.
Réélu en 1971.
Réélu en 1977.
Réélu en 1983, 1989, 1995 et 2001.
Réélu en 2008.
Réélu en 2020.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
C'était en 1612 «plusieurs corps de logis formant deux cours, environnées d'une ceinture d'épaisses et hautes murailles avec leurs tours, esperons, pont-levis, porte et grille de fer; le tout enfermé par la douve dudit château et la rivière d'Erdre qui y entre. Hors la dite douve il y a jardin, portail et dépendances, plus une deuxième douve et fossé où entre encore la rivière d'Erdre; et hors ladite deuxième douve y a bois ancien, terres, prés et métairie dudit château et une troisième douve où entre encore la rivière d'Erdre» (Aveu de la Muce, en 1612).
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