Condé-Sainte-Libiaire est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
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L'altitude de la commune varie de 41 mètres à 91 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 49 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Carte des réseaux hydrographique et routier de Condé-Sainte-Libiaire.
Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés:
la rivière la Marne, longue de 514,26 km[3], principal affluent de la Seine, au nord, ainsi que:
la rivière le Grand Morin, longue de 118,16 km[5], affluent en rive gauche de la Marne, au sud-ouest;
le canal de Meaux à Chalifert, long de 12,60 km[6]. traverse la commune et conflue dans la Marne à Chalifert.
Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’ aqueduc de la Dhuis.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,32 km[7].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles: le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[8].
La commune fait partie du SAGE «Petit et Grand Morin», approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de «structure porteuse»[10].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 11,4 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 2,7 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,4 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 1]: 14,7 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 704 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: -2,9 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: 3,2 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 34 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[13] à 11,6°C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Oiseaux»[16]:
les «Boucles de la Marne», d'une superficie de 2 641ha, un lieu refuge pour une population d’Œdicnèmes criards d’importance régionale qui subsiste malgré la détérioration des milieux[17],[18].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Condé-Sainte-Libiaire comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[19],
le «plan d'eau d'Isles-les-Villenoy» (156,87ha), couvrant 3 communes du département[20]
Urbanisme
Typologie
Condé-Sainte-Libiaire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[21],[22],[23].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bailly-Romainvilliers, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[24] et 51 652 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].
Lieux-dits et écarts
Carte du cadastre de la commune de Condé-Sainte-Libiaire.
La commune compte 30 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[29] (source: le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (37,5% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (29,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones urbanisées (37,5% ), forêts (35,5% ), prairies (13,7% ), terres arables (13,3%)[30].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[31],[32],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Pays créçois, approuvé le [33].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[34].
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 618 dont 94,9% de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 3,7% d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 90,4% étaient des résidences principales, 4,5% des résidences secondaires et 5,1% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 92,7% contre 5,2% de locataires et 2,1% logés gratuitement[35].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la gare de Montry - Condé, située à Montry. Elle est traversée par la route départementale 85P.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Condetum Sancte Libarie en 1353[36]; Condé sainte Libière en 1719 (BMS)[37] et en 1757 (Cassini); Condé-sur-Morin 1793[38]; Condé[39].
Du gaulois «condate», confluent, et de la sainte éponyme. Ainsi, dans le département, La Ferté-sous-Jouarre (au confluent de la Marne et du Petit Morin) s’appelait «Condé la Ferté», et Montereau (au confluent de la Seine et de l'Yonne) s’appelait «Condate»[40].
De 1793 à 1801, à la suite de la Révolution française, la commune porte le nom de Condé-sur-Morin[41].
Histoire
Condé, alias Condetum Sancte Libiaire, est un village très ancien (condetum est un vieux mot d'origine celtique qui signifiait confluent). Un acte de janvier 1258 relate que Gilbert de Herbot de Compans cède, à l’Hôtel Dieu de Paris, deux arpents et demi de ses terres dans la commune de Condé et à cette époque déjà (XIIIesiècle), elle avait le titre de paroisse. Le village dépendait de la province de Champagne et de Brie. Après le mariage de Jeanne de Navarre (comtesse de Champagne et de Brie) et de Philippe le Bel (roi de France; le 16 août 1284), cette province fut réunie à la couronne[40].
À partir de cette époque, Condé est passée dans la partie de la Brie champenoise qui dépendait de l’Île-de-France.
Aux XIIesiècle et XIIIesiècles, Condé était un pays de vignobles. La dernière belle récolte date de 1874 avec 1200 hl. Il existait à cette époque vingt viticulteurs. Quarante ans après, aucune vigne n’existait plus.
Avant la Révolution française, Condé était une paroisse de l’archidiocèse de Brie, le château du village appartenait au XIIIesiècle aux bénédictins de Saint Pierre de Lagny. Avec tous droits féodaux en vigueur, ils en conservèrent la propriété jusqu’au XVesiècle.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Meaux du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. Pour l'élection des députés, elle dépend de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.
La commune appartenait, depuis 1793, au canton de Crécy-la-Chapelle[41]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Serris.
Intercommunalité
La commune a intégré en 2006 la communauté de communes du Pays Créçois.
Son territoire a été réparti entre plusieurs autres intercommunalités, et, à compter du , la commune est sérmais membre de la Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie.
Restaurateur immobilier Maire de Crécy-la-Chapelle (2001 → 2015) Sénateur de Seine-et-Marne (2004 → 2016) Conseiller général de Crécy-la-Chapelle (1994 → 2005) Président de l’union des maires de Seine-et-Marne (2001 → 2013) Démissionnaire
Députée de Seine-et-Marne (5ecirc.) (2018[47] → ) Présidente de la communauté de communes du Pays Créçois (2008 → 2018) Démissionnaire à la suite de son installation comme députée
février 2019
En cours
Fabrice Marcilly
SE-Horizons
Les données manquantes sont à compléter.
Jumelages
La commune est jumelée avec Tryssul (Angleterre) et Seisdon (Angleterre).
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [48],[49].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Condé-Sainte-Libiaire est assurée par le SMA de Quincy Mareuil Condé-Sainte-Libiaire pour la collecte et . Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [50],[51],[52].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[53]. Le SMA de Quincy Mareuil Condé-Sainte-Libiaire assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée[50],[54].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [50],[55],[56].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[58].
En 2019, la commune comptait 1 426 habitants[Note 7], en augmentation de 0,42% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
406
391
415
426
443
448
440
443
393
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
362
355
359
358
339
321
314
324
330
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
340
360
342
298
351
403
411
376
371
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
399
487
645
1 029
1 365
1 344
1 401
1 418
1 420
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 425
1 426
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[59].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
La soirée dansante du mois de mars;
Les feux de la Saint-Jean;
La fête communale avec le feu d’artifice;
La brocante;
La soirée beaujolais;
Le marché de Noël.
Sports
Le football club de Montry Condé
Condé gymnastique
Tir à l’arc: Condé serait la plus vieille compagnie d’Arc de France[60].
Yoga: inscription à la séance
Tennis Club de Condé: des cours pour adultes et enfants.
Association de Pêche
Autour des Arts: cours de danse pour enfants, ados, adultes.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 538, représentant 1 390 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 150 euros[61].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 85, occupant 634 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,1% contre un taux de chômage de 6,8%.
Les 23,1% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 9,5% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,9% de retraités ou préretraités et 6,6% pour les autres inactifs[62].
Secteurs d'activité
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 90 dont 5 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 23 dans la construction, 16 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 4 dans l’Information et communication, 3 dans les activités financières et d'assurance, 8 dans les activités immobilières, 16 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 7 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 8 étaient relatifs aux autres activités de services[63].
En 2019, 17 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 15 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[64].
La commune dispose d'une boulangerie dans la rue Pasteur, 2 restaurants au quai de la Marne et une supérette en face de la mairie.
Culture locale et patrimoine
Le château.Traversée du Grand-Morin sous le canal de Chalifert avant de rejoindre la Marne.
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin-et-Sainte-Libiaire.
Le château de Condé-Sainte-Libiaire, XVIIeetXVIIIesiècles.
Le sentier de grande randonnée 14A traverse la commune.
Les promenades le long des cours d'eau se font dans un cadre agréable au milieu de la nature. L'île du Renard est certainement un des lieux plus attirants mais il est impossible de la visiter étant donné l'inexistence de passage.
Personnalités liées à la commune
Joseph Bonnet, le grand organiste et compositeur français, seine-et-marnais d'adoption[65].
Henry Hamel (1861-1906), dessinateur et journaliste, né dans cette ville.
Marcel Roger Platteaut naît le 28 février 1911 à Condé-Sainte-Libiaire (Seine-et-Marne - 77). Ses parents habitent à Crécy la Chapelle[66].
Héraldique
Les armes de la ville se blasonnent ainsi: Tiercé en pairle renversé: au premier d'azur au voilier contourné d'or voguant sur des ondes alésées d'argent, au deuxième d'azur à l'arc de sable encoché d'une flèche du même posé en pal, au troisième de gueules à la grappe de raisin en ombre de sable; au pairle renversé d'or, ployé en pointe, brochant sur la partition.
Voir aussi
Bibliographie
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Articles connexes
Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
«Michel Houel candidat à la mairie», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne)«Je quitte Condé la larme à l'oeil, mais il n'était pas question que je parte du canton.» Michel Houel, natif de Condé-Sainte-Libiaire et maire de la commune depuis vingt-neuf ans, se présente aux municipales à Crécy-la-Chapelle».
Sébastien Roselé, «La Brie pleure la disparition du sénateur Michel Houel», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne).
Laura Frambourg, «Condé-Sainte-Libiaire: de nouvelles élections municipales se tiendront en février: Les habitants de Condé-Sainte-Libiaire devront se déplacer aux urnes en février 2019 pour élire un nouveau maire après la démission de Patricia Lemoine, dorénavant députée», La Marne (hebdomadaire), (lire en ligne, consulté le )«Patricia Lemoine, qui a quitté son poste en décembre, laisse l’intérim à son premier adjoint, René Salacroup, en attendant la tenue de nouvelles élections».
Alexandre Métivier, «Seine-et-Marne: Franck Riester ministre, Patricia Lemoine devient députée: La maire de Condé-Sainte-Libiaire et présidente du pays Créçois était la suppléante dans la 5ecirconscription du député Franck Riester, nommé ministre de la Culture et de la communication mardi», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
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