Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Dardaillon, le ruisseau de Rouvièges, le ruisseau de Paravel et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (la «montagne de la Moure et Causse d'Aumelas» et les «garrigues de la Moure et d'Aumelas») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Aumelas est une commune rurale qui compte 531 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Aumelais ou Aumelaises.
Géographie
Carte du territoire communal.
La commune se situe à l'est de la limite entre l'arrondissement de Lodève et celui de Montpellier. Cette limite correspond à des reliefs séparant la plaine de l'Hérault et les plaines entourant Montpellier. Le territoire communal s'étend sur un plateau culminant à l'est à 349 mètres au Grand Puech et au sud à 304 mètres dans la montagne de la Mourre. Le plateau s'incline vers l'ouest en direction de la vallée de l'Hérault.
Ce territoire est composé dans sa majeure partie de bois et de garrigues maigres et la densité de population est très faible. Les habitants se concentrent dans deux hameaux: le Mas d'Arnaud, au nord, où se trouve la mairie et Cabrials, au sud-ouest. Quelques domaines agricoles sont dispersés dans le reste de la commune: Mas de Lunès, Mas Valoussière, Mas Barral, Mas Artémon…
Le plateau est entaillé de vallées qui permettent l'accès à la commune par deux routes départementales: la D 139 au nord, la D 114E au sud. La D 114 passe à l'est et permet de relier la commune à la route nationale 109 au nord et Cournonterral au sud où l'on peut rejoindre les villes de Montpellier et Sète.
Ce territoire peu peuplé fait l'objet d'utilisations spécifiques:
ouverture d'une chasse privée autour des propriétés isolées et boisées au sommet;
construction d'une centrale électrique éolienne au sud, près de la limite avec la commune de Villeveyrac, pour profiter du plateau dénudé ouvert aux vents;
pratique de la spéléologie, le plateau qui occupe la majeure partie du territoire de la commune étant très karstifié.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 16,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Le Pouget», sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6°C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Sete», sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 23 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15°C pour la période 1971-2000[10], à 15,4°C pour 1981-2010[11], puis à 15,8°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14]:
la «montagne de la Moure et Causse d'Aumelas», d'une superficie de 10 694ha, présentant sur 20% de son territoire un couvert de pelouses méditerranéennes à brachypode rameux (Brachypodium ramosum) bien entretenues grâce à une pratique pastorale encore très fréquente. Des landes, broussailles, recrus, maquis et garrigues et phrygana couvrent 45%, et des forêts sempervirentes non-résineuses (chênaie verte et blanche avec de grands houx arborescents) pour 25%. Sept espèces de chauve-souris, dont 3 d'intérêt communautaire, présentes sur le site[15]
les «garrigues de la Moure et d'Aumelas», d'une superficie de 9 015ha, abritant un couple nicheur d'Aigles de Bonelli. Ce site est aussi important pour l'aigle royal, comme zone d'alimentation des individus erratiques et d'un couple nicheur à proximité[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[17]:
le «causse d'Aumelas occidental» (1 786ha), couvrant 2 communes du département[18] et
le «causse d'Aumelas oriental» (1 596ha), couvrant 3 communes du département[19]
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[17]:
le «causse d'Aumelas et montagne de la Moure» (16 237ha), couvrant 16 communes du département[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Aumelas.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Aumelas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[21],[I 1],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (73,9%), forêts (14,1%), cultures permanentes (5,4%), zones agricoles hétérogènes (5,2%), zones urbanisées (1,1%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Aumelas est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Aumelas est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[26].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aumelas.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,3% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 236 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 232 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2002, 2003, 2005, 2014, 2016 et 2019.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme latine Omelares Castellum en 1036[Note 10], Emellaz en 1068, Omelaz en 1114, Omellaz en 1133[30].
En occitan, elle est citée sous différentes graphies: Omelaç en 1276[31], Omelas en 1287[32] et Aumelaç en 2009[33].
Homelas sur la Carte de Cassini.
Sens du toponyme: « lieu planté d'ormes »[30]. L'étymologie proposée par Frank R. Hamlin est plus vraisemblable (dans la garrigue ne poussent pas des ormes): domaine gallo-romain, surnom latin Homullus plus suffixe prélatin -atis.
En occitan, on trouve les graphies: Omelaç[o.me.'las], forme ancienne et Aumelaç[aw.me.'las], forme plus récente.
Histoire
Les ruines d'un château au Mas d'Arnaud et d'une chapelle à Cardonnet, dans l'est de la commune, sont les vestiges de la présence durable au Moyen Âge.
Entre 1790 et 1794, Aumelas absorbe les communes de Cardonnet et Cabrials[34].
Politique et administration
Liste des maires d'Aumelas jusqu'à la Libération.
Liste des maires
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1792
1796
Denis Negrou
1796
1800
Antoine Bonniol
1800
1815
Denis Negrou
1815
1830
Marc Arnaud
1830
1834
Pierre Amadou
1834
1844
Jean Cheule
1844
1848
Marc Arnaud
1848
1851
Cyprien Arnaud
1851
1870
Pierre Arnaud
1870
1878
Joseph Cheule
1878
1882
François Cheule
1882
1908
Jacques Bataille
1908
1914
Albert Bataille
1914
1916
Fulcrand Francès
Conseiller Municipal remplace le Maire et l'Adjoint mobilisés
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2019, la commune comptait 531 habitants[Note 11], en augmentation de 4,73% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
240
145
290
315
274
284
281
263
281
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
313
303
293
259
245
223
228
256
261
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
252
225
259
257
279
261
219
199
218
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
210
225
191
245
332
378
429
449
479
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
510
531
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 221 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 530 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 290 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 333 personnes, parmi lesquelles on compte 80,8% d'actifs (70,7% ayant un emploi et 10,2% de chômeurs) et 19,2% d'inactifs[Note 13],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 67 emplois en 2018, contre 77 en 2013 et 51 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 240, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,2%[I 10].
Sur ces 240 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 46 travaillent dans la commune, soit 19% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9% les transports en commun, 2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
52 établissements[Note 14] sont implantés à Aumelas au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
52
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
4
7,7%
(6,7%)
Construction
11
21,2%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
11
21,2%
(28%)
Information et communication
2
3,8%
(3,3%)
Activités immobilières
3
5,8%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
13
25%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
3
5,8%
(14,2%)
Autres activités de services
5
9,6%
(8,1%)
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 52 entreprises implantées à Aumelas), contre 17,1% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[42]:
Ste Exploitation Mas De Lunes, culture de la vigne (358 k€)
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 41 lors du recensement agricole de 1988[Note 18] à 26 en 2000 puis à 21 en 2010[45] et enfin à 23 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 44% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67% de ses exploitations[46],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1686 ha en 1988 à 1506 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 41 à 65 ha[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château d'Aumelas, fief des Guilhems de Montpellier.
Château-Bas d'Aumelas
Chapelle Saint-Martin-du-Cardonnet. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1989[47].
Chapelle Saint-Sauveur d'Aumelas.
Église de l'Assomption de Mas d'Arnaud.
Église Saint-Pierre-Saint-Paul de Cabrials.
Le Prieuré et l’église Saint-Étienne de Prunet[48],[49].
Chapelle Saint-Martin-du-Cardonnet
Chapelle Saint-Sauveur au château d'Aumelas
Église de l'Assomption de Mas d'Arnaud
Église Saint-Pierre-Saint-Paul de Cabrials
Héraldique
Les armoiries de Aumelas se blasonnent ainsi:
«D’or au pairle losangé d'or et de sinople».
Personnalités liées à la commune
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Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Dans les archives du château de Foix.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- Toponymie générale de la France, page 341, (ISBN2600028838).
(es) Ambrosio Huici Miranda(es) et María Desamparados Cabanes Pecourt, Catedrático de Universidad(es) (Indice de lugares), Documentos de Jaime I de Aragón VII 1275-1276 (Textos Medievales), Saragosse, Anubar Ediciones, coll.«Antonio Ubieto Arteta(es)» (no100), , 224p., 21 × 29,7 cm (présentation en ligne, lire en ligne[PDF]), p.102 (consulté le ).
«Le nom de lieu Aumelas», études héraultaises, (lire en ligne[PDF]).
Voir aussi
Bibliographie
Henri Bellugou, La Révolution dans le canton de Saint-Pargoire, Hérault: 1789-1800, Montpellier, Impr. de la Charité, , 404p.
Paul Degrully, La reconstitution d'Aumelas, Canard héraldique, , 6p.
Alphonse Delouvrier, Histoire de la vicomté d'Aumelas et de la baronnie du Pouget, Gignac, Bibliothèque 42, , 350p. (lire en ligne)
Éva Martinez, Association pour la sauvegarde du château d'Aumelas et de la chapelle du Cardonnet (Gignac), Aumelas: dans la pierre, l'empreinte de l'histoire du XIeauXXesiècle, Gignac, Association de sauvegarde du château d'Aumelas et de la chapelle du Cardonnet, coll.«Racines», , 62p.
André Soutou, «Le nom de lieu Aumelas», Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no3, , p.15-18 (lire en ligne [PDF])
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales déposées d'Aumelas (1626-1830) [0,15 ml]. Cote: 16 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
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